Ce voyage en solitaire commencera le 3 juin et se terminera le 26 juin 2017. Il débutera à Lampedusa, première île italienne de l‘espace Schengen, au large des côtes tunisiennes et s'achèvera à Paris. Je souhaiterais effectuer un travail de « reporter » au côté des migrants mais également auprès des différentes associations, habitants et acteurs ayant un rôle dans le processus d’intégration des migrants.

La crise des migrants c’est le résultat de guerres comme la Syrie ou l’Afghanistan, le résultat de famines en Somalie ou en Erythrée ou encore la menace terroriste, l'insécurité, la dictature et surtout l'espérance d’une vie meilleur.  Dans tout cela il y a des morts (500 à Lampedusa) mais aussi des heureux comme le million de personne entrant en Europe en 2015. Au final un changement qui pose de nombreuses questions et des problématiques auxquelles les Européens et les migrants n'étaient pas prêt.
Il m'apparaît alors crucial d’aller comprendre sur le terrain, en discutant avec les migrants et la population locale, ce qu’il se passe et de jouer le rôle minime mais fondamental de transmettre l’information au niveau de ma localité.
 

L’impact se ressentira principalement dans la ville de Landerneau avec des présentations dans les écoles landernéennes (présentation photo), plus précisément au niveau lycéen (lycée de l’Elorn, Saint Sébastien) mais il serait également possible de l’adapter au niveau collégien (Mescoat, Saint Sébastien)
 
Le résultat attendu serait chez les jeunes landernéens en leur apportant les clés d’une meilleure compréhension et vision de la situation des migrants : leurs conditions de vie et la situation dans leur pays d’origine.
Un autre résultat pourrait être une sensibilisation des landernéens, autant les jeunes que les plus âgés, au sujet de la participation  associative, de l’ouverture d’esprit et du vivre ensemble.
 
Cet impact se fera aussi au niveau finistérien avec une collaboration avec le Télégramme ou encore sur les réseaux sociaux avec un partage de mes expériences.