Ce projet consiste à permettre à des personnes pauvres, ayant peu de ressources de développer leur projet, grâce à une levée de dons.

Moi et mon binôme Mario avons rejoint l'ONG Impulso pour réaliser ce volontariat. 

Via des partenariats locaux, cette ONG permet à des personnes marginalisées de sortir de la pauvreté, en France et en Amérique Latine, en apportant un financement de leur commerce/artisanat, et un accompagnement ensuite pour qu’il puisse durer dans le temps. Ce sont des personnes pauvres, souvent des femmes (90% des bénéficiaires sont des femmes), qui ne pourraient lancer leur projet via une banque classique, car pas de garanties.

Dans ce cadre-là, nous démarrons une levée de dons, destinée à financer ces petits entrepreneurs. L’idée est de partir ensuite en Amérique latine à la rencontre des personnes financées grâce aux fonds levés, pour que l’on puisse montrer l’impact que ces dons auront eu.

Tout cela se fera une fois la levée de dons terminée, en avril prochain pendant 4 mois, et à VELO !

En tant que volontaires, nous nous engageons pour soutenir des petits entrepreneurs et pour développer des projets à impact local. 

Via ce programme nous promouvons : 

- Une finance plus saine et humaine 
- Le voyage à faible empreinte ​carbone
- L’approche locale au plus près des personnes dans le besoin

Nous sommes tous les 2 étudiants en économie du développement depuis 2 ans maintenant, où nous travaillons sur les questions de pauvreté et d'inégalités.

Suite à un échange universitaire à Rio de Janeiro en 2022, plusieurs rencontres nous ont
donné envie de concrétiser notre engagement solidaire en contribuant à soutenir à notre échelle les personnes les plus défavorisées.

Nous avons tous les deux souhaité mettre en pause nos études pour nous investir pleinement dans un projet ayant du sens pour nous.

Dans des pays en développement, aider à la création d’un commerce revient à aider des familles entières sur plusieurs générations. Les bénéfices dégagés permettent la plupart du temps d’assurer des études aux enfants, donc un emploi, puis des revenus etc.
 
Une augmentation de 10% des crédits aux femmes permet une hausse moyenne de 8% de la scolarisation des enfants et une baisse de 5% de l’extrême pauvreté.
 
La plupart de nos bénéficiaires sont issus de communautés marginalisées qui n’ont peu ou pas accès à l’enseignement et au système financier.
 
90 % des bénéficiaires sont des femmes.
 
Leurs activités sont, entre autres, le commerce, l’enfance, la restauration, l’agriculture ou le textile.