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En quoi consiste le projet
Paupiette est une start-up sociale et solidaire qui réunit séniors et étudiants sur le temps du déjeuner autour d'un bon petit plat !
Les missions sont doubles :
Le sénior annonce en amont le plat qu’il propose et le nombre de convives puis il accueille les étudiants à son domicile, à l’heure convenue.
Trois formules de prix sont mises en place : le sénior perçoit 4€ par convive pour un plat, 5€ pour entrée/plat ou plat/dessert et 7€ pour entrée/plat/dessert.
Les missions sont doubles :
- Lutter contre l’isolement des séniors
- Offrir un repas complet à prix accessible aux étudiants
Le sénior annonce en amont le plat qu’il propose et le nombre de convives puis il accueille les étudiants à son domicile, à l’heure convenue.
Trois formules de prix sont mises en place : le sénior perçoit 4€ par convive pour un plat, 5€ pour entrée/plat ou plat/dessert et 7€ pour entrée/plat/dessert.
D’où est venue l’idée de ce projet
C’est en passant au « régime externe » pour le déjeuner au lycée que Enora a commencé à errer dans Quimper à la recherche de diversité. Mais quelle difficulté, les semaines étaient rythmées par des salades/sandwichs/ et encore salades…
Tous les mercredis, la grand-mère d’une amie l'a donc conviées pour déguster un repas chaud et rompre sa monotonie.
Vient alors l'idée de lancer Paupiette.
Le projet répond a des enjeux sociaux, en effet on décèle un sentiment grandissant de solitude voire d’isolement chez les séniors dans les zones urbanisées. Loin de leurs proches / ou n’ayant plus de proches, ils n’ont plus l’occasion de cuisiner des plats familiaux. Cependant, ils aiment cuisiner et partager.
Dans le cadre de son enquête 2014, la Fondation de France a mis en lumière un phénomène de société alarmant : l’isolement chez les personnes âgées devient de plus en plus récurrent et révèle un effritement des liens sociaux mais aussi une difficulté à se sociabiliser avec son entourage.
Le travail change, devient plus organisé et plus exigeant. Il laisse moins de temps à l’échange informel et les familles se dispersent géographiquement.
Un contexte national de recentrement sur soi et de crise de la relation favorise l’émergence et la progression d’un sentiment d’abandon, d’exclusion ou d’inutilité au sein de la population éprouvant l’isolement.
En quelques chiffres..
– Plus d’1 sénior sur 2 est isolé dans les grandes villes
– Ce chiffre a doublé en 4 ans
– La solitude tue 2 fois plus que l’obésité
Parallèlement, de nombreux étudiants et jeunes travailleurs se nourrissent mal le midi, faute de temps et de moyens. Ils sont également à la recherche d’alternatives, lassés par le rapport qualité-prix décevant de la restauration rapide. Puis, la distance (études-premier travail) avec leurs proches est parfois difficile à supporter. Enfin, ces jeunes sont nostalgiques des plats de leur grand-mère et sont conscients des problèmes de société.
L’Union nationale des mutuelles étudiantes régionales à réalisé une enquête sur l’alimentation des étudiants. Disposant d’un budget alimentaire restreint, les déséquilibres s’amplifient :
– 35% des étudiants ne mangent pas de fruits et de légumes tous les jours
– 1 étudiant sur 5 ne prend que 2 repas par jour
– 94% grignotent entre les repas
Tous les mercredis, la grand-mère d’une amie l'a donc conviées pour déguster un repas chaud et rompre sa monotonie.
Vient alors l'idée de lancer Paupiette.
Le projet répond a des enjeux sociaux, en effet on décèle un sentiment grandissant de solitude voire d’isolement chez les séniors dans les zones urbanisées. Loin de leurs proches / ou n’ayant plus de proches, ils n’ont plus l’occasion de cuisiner des plats familiaux. Cependant, ils aiment cuisiner et partager.
Dans le cadre de son enquête 2014, la Fondation de France a mis en lumière un phénomène de société alarmant : l’isolement chez les personnes âgées devient de plus en plus récurrent et révèle un effritement des liens sociaux mais aussi une difficulté à se sociabiliser avec son entourage.
Le travail change, devient plus organisé et plus exigeant. Il laisse moins de temps à l’échange informel et les familles se dispersent géographiquement.
Un contexte national de recentrement sur soi et de crise de la relation favorise l’émergence et la progression d’un sentiment d’abandon, d’exclusion ou d’inutilité au sein de la population éprouvant l’isolement.
En quelques chiffres..
– Plus d’1 sénior sur 2 est isolé dans les grandes villes
– Ce chiffre a doublé en 4 ans
– La solitude tue 2 fois plus que l’obésité
Parallèlement, de nombreux étudiants et jeunes travailleurs se nourrissent mal le midi, faute de temps et de moyens. Ils sont également à la recherche d’alternatives, lassés par le rapport qualité-prix décevant de la restauration rapide. Puis, la distance (études-premier travail) avec leurs proches est parfois difficile à supporter. Enfin, ces jeunes sont nostalgiques des plats de leur grand-mère et sont conscients des problèmes de société.
L’Union nationale des mutuelles étudiantes régionales à réalisé une enquête sur l’alimentation des étudiants. Disposant d’un budget alimentaire restreint, les déséquilibres s’amplifient :
– 35% des étudiants ne mangent pas de fruits et de légumes tous les jours
– 1 étudiant sur 5 ne prend que 2 repas par jour
– 94% grignotent entre les repas
Quel est le public visé par ce projet
Le projet s'adresse a la fois aux retraités, aux étudiants mais également aux actifs.
L'association ne souhaite pas limiter son action a une partie de la population et a pour objectif de lutter contre l'Isolement en recréant du lien social et intergénérationnel avec l'ensemble des acteurs qui souhaitent s'inscrire dans la démarche.
L'association ne souhaite pas limiter son action a une partie de la population et a pour objectif de lutter contre l'Isolement en recréant du lien social et intergénérationnel avec l'ensemble des acteurs qui souhaitent s'inscrire dans la démarche.
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Quimper
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